Puis nous cherchons un endroit pour mouiller à Dinard, d'où nous devons embarquer Constance , mais bien encombré au cœur de l'été. Difficile de se mettre d'accord, premier flou à bord... Prendre une bouée signifie la rencontre probable avec son propriétaire , mais la marée descend, il faut se décider rapidement, car tout assèche dans l'anse. Finalement nous optons pour une bouée près de la cale des navettes vers Saint Malo, ce qui nous permet d'aller à terre et de flâner dans les rues de la ville.
Petite station balnéaire "chic et charme ".
Puis nous profitons de la marée basse pour nettoyer la coque. La ligne de flottaison est juste un peu jaunie, et la coque étonnement propre après l'hiver. Le nettoyage s'avère donc rapide et simple. L'antifouling attendra l'an prochain, ce qui évitera de nourrir les poissons de produits nocifs!
Le lendemain, lundi, nous accueillons Constance et ses amis à bord pour la journée. Le temps est magnifique et estival, mais pas d'air. Nous déjeunons donc tranquillement tous à bord devant le port, et partons pour un petit tour devant Dinard et saint malo dans l'après midi avec le vent qui se lève. Il faut sortir les "coupes-vents" et nous mettons une ligne de traine pour amuser les garçons et pour agrémenter notre repas.
La pêche sera infructueuse, mais l'ambiance est festive et détendue.
Les invités sont ravis de découvrir leur lieu de vacances, avec la multitude d'îlots et de rochers devant saint Malo vu de la mer, qu'il nous faut éviter en navigation. En plus des changements de rythme et de repères, être sur l'eau modifie toujours l'approche et l'idée que l'on se fait du paysage vu du rivage.
Nous avons ce jour là: Margaux, la bonne amie de Constance, sa maman Véronique, sa grand-mère, Marie et ses deux garçons: Paul et Luc, et nous cinq! Sans oublier le chien: Bonnie...
Nous sommes partis à 12 et revenus avec autant de passagers à bon port.
Sympa notre petit 9 mètres-Biloup.
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