pas d'enfants à bord!
c'est top avec des potes.
Nous serons ravis de retrouver nos ouailles, mais tout autant de les quitter.
La voile est une découverte et une grande aventure pour Agnès
et l'occasion de retrouver de vieilles sensations Glénanaises pour Jean-Christophe.
et l'occasion de retrouver de vieilles sensations Glénanaises pour Jean-Christophe.
Antoine, un amour et prévenant, a déja descendu la Rance lorsque ils arrivent, accompagnés de Claire. C'est donc à la Richardais que l'équipage embarque. On troque le costume de travail pour des docksides, jeans et écharpes, car le soleil est au RV, mais accompagné d'un bon vent frais cette fois-ci. (NE 5à6 anoncé).
Comme la journée a été longue, personne ne s'attarde, les couchettes sont prêtes (merci encore Antoine) et c'est au petit matin que les invités exploreront les recoins du Phoenix.
Comme la journée a été longue, personne ne s'attarde, les couchettes sont prêtes (merci encore Antoine) et c'est au petit matin que les invités exploreront les recoins du Phoenix.
Mais ça bouge sur un bateau!!!
Comment va-t-on dormir?
Mais très bien mon capitaine.
Bonne nuit.
Comment va-t-on dormir?
Mais très bien mon capitaine.
Bonne nuit.
Pas de grasse mat. aujourd'hui, même sans enfants, pour avoir l'écluse de 9h00.
bonjour Agnès! le café est prêt!
puis l'équipage se prépare vite car le feu de l'entrée de l'écluse est déjà vert!
bonjour Agnès! le café est prêt!
puis l'équipage se prépare vite car le feu de l'entrée de l'écluse est déjà vert!
Pour nous, c'est la routine, "mais comment on passe là dedans?" se demandent les amis.
Petite explication à l'appui: pour passer le barrage, alors que la hauteur d'eau n'est pas la même de part et d'autre , en fonction de la marée, la porte d'entrée s'ouvre, puis se referme derrière nous. L'éclusier rempli ou vide le sas pour égaliser avec le niveau d'eau de l'autre côté, puis le pont se lève pour laisser passer les voiliers, la deuxième porte s'ouvre quand le niveau est atteint et voilà, nous pouvons y aller.
Petite explication à l'appui: pour passer le barrage, alors que la hauteur d'eau n'est pas la même de part et d'autre , en fonction de la marée, la porte d'entrée s'ouvre, puis se referme derrière nous. L'éclusier rempli ou vide le sas pour égaliser avec le niveau d'eau de l'autre côté, puis le pont se lève pour laisser passer les voiliers, la deuxième porte s'ouvre quand le niveau est atteint et voilà, nous pouvons y aller.
Et voila une belle journée en mer qui s'annonce. La brise est fraiche. NE comme annoncé force 3 au départ, fraichissant 4 à5 dans l'AM.
En plein dans le nez pour aller aux Chausey. Tant pis, l'équipage est vaillant.
Commence alors la découverte du vocabulaire marin: babord, tribord? kesako? Un instant plus tard ce sera, hisser, border, lofer, choquer! Et il y a des cordes partout et de toutes les couleurs. C'est chic, mais laquelle choisir?
Et puis c'est où l'ouest , et l'est, j'en ai perdu le nord . Bon ça va, vert, rouge, jaune et noir, je connais. Ou là là! Et puis la carte, elle n'a pas les mêmes couleurs que mon guide Michelin.
Agnès fait confiance, elle trouve sa place au soleil rapidement.
Nous hissons les voiles devant Saint Malo, tirons un grand bord au large et ensuite, plein est vers la pointe du Groin devant Cancale, déjeuner en mer, et à nouveau plein nord vers le sound de l'archipel. Tout le monde va bien, une petite barbouille pour Agnès après le déjeuner, mais une sieste au soleil aura raison de cet inconfort passager. Jean-Christophe barre avec entousiasme, le bateau file et passe de 3 à 7 noeuds dans la brise après la renverse.
En plein dans le nez pour aller aux Chausey. Tant pis, l'équipage est vaillant.
Commence alors la découverte du vocabulaire marin: babord, tribord? kesako? Un instant plus tard ce sera, hisser, border, lofer, choquer! Et il y a des cordes partout et de toutes les couleurs. C'est chic, mais laquelle choisir?
Et puis c'est où l'ouest , et l'est, j'en ai perdu le nord . Bon ça va, vert, rouge, jaune et noir, je connais. Ou là là! Et puis la carte, elle n'a pas les mêmes couleurs que mon guide Michelin.
Agnès fait confiance, elle trouve sa place au soleil rapidement.
Nous hissons les voiles devant Saint Malo, tirons un grand bord au large et ensuite, plein est vers la pointe du Groin devant Cancale, déjeuner en mer, et à nouveau plein nord vers le sound de l'archipel. Tout le monde va bien, une petite barbouille pour Agnès après le déjeuner, mais une sieste au soleil aura raison de cet inconfort passager. Jean-Christophe barre avec entousiasme, le bateau file et passe de 3 à 7 noeuds dans la brise après la renverse.
Antoine coordonne les manoeuvres et claire scrute l'horizon.
Avec notre calcul de marée, nous sommes à 9 Nd SOG, ce qui nous fait arriver aux Chausey à temps pour profiter d'une belle fin d'après-midi à terre, à nous promener.
Le soir, après un petit apéro, diner, repos, nous avons un beau coucher de soleil dans le sound.
Tout l'équipage profite d'une bonne nuit de sommeil et s'offre le luxe d'une vraie grasse matinée puisque nous ne partons pas avant 14h00.
Le retour vers Saint Malo le samedi après-midi se fait au portant.
Nous filons à nouveau et Jean-christophe n'a pas trouvé le frein pour pouvoir pêcher à la bonne vitesse. La ligne de traine est sortie, "pour la gloire", mais les maquereaux fous qui nagent à 6nd ne se sont pas laissé appater ce jour là. Dommage, ce sera le seul bémol du WE. La prochaine fois.
Nous ne monterons pas non plus le spi, malgré l'allure, car nous évaluons trop d'air pour le confort et la sécurité de l'équipage.
Le retour vers Saint Malo le samedi après-midi se fait au portant.
Nous filons à nouveau et Jean-christophe n'a pas trouvé le frein pour pouvoir pêcher à la bonne vitesse. La ligne de traine est sortie, "pour la gloire", mais les maquereaux fous qui nagent à 6nd ne se sont pas laissé appater ce jour là. Dommage, ce sera le seul bémol du WE. La prochaine fois.
Nous ne monterons pas non plus le spi, malgré l'allure, car nous évaluons trop d'air pour le confort et la sécurité de l'équipage.
Après quelques empanages, la traversée d'un régate de 5.45 devant Cezembre, nous ratons l'écluse à 5mn près! Nous décidons de mouiller devant Solidor et profitons d'une belle soirée.
Nous prenons ensuite l'ecluse de 22h00 et profitons d'une nuit claire pour remonter la Rance jusqu'à Saint Suliac pour la nuit.
Le dimanche matin, Antoine fait le guide dans le village et c'est à la rame qu'ils reviendront!!!! panne d'essence. Bouhhhh!
Et l'après-midi, nous finissons la remontée de la Rance à la voile avant de rejoindre notre mouillage familier.
Et l'après-midi, nous finissons la remontée de la Rance à la voile avant de rejoindre notre mouillage familier.
Vous avez vraiment des amis supersympas!Bravo pour la prose et les belles photos.
RépondreSupprimerBonnes vacances. JAC De la Cloz